Elections : J-12 ! Analyses des positions des deux candidats Sur les pesticides et l'agriculture : Royal qui se déclare en faveur d'une politique de réduction de l'utilisation des pesticides et d'un moratoire sur les OGM offre l'espoir d'un réel changement. Sur les mêmes points Sarkozy, très conservateur, déçoit...
Elections présidentielles : les positions des deux candidats analysées par le MDRGF Retrouvez sur le site spécial du MDRGF http://mdrgf.c.topica.com/maagirHabx4U5bIDu65eafpL0Q/ l'analyse des positions des deux finalistes de l'élection présidentielle sur les pesticides, l'agriculture, les OGM.... Une information précieuse à moins de 10 jours du deuxième tour de scrutin !
Le livre 'Pesticides , révélations sur un scandale français' livre du mois pour la deuxième fois consécutive sur le site de l'Ecologiste ! Déjà diffusé à environ, 15 000 exemplaires, ce livre connait un franc succès et les révélations qu'il contient se sont largement diffusées dans l'opinion publique. Objectif atteint ! Vous pouvez le commander sur le site de la revue l'Ecologiste en cliquant sur : http://mdrgf.c.topica.com/maagirHabx4U3bIDu65eafpL0Q/
la fibromyalgie : une maladie dont il convient de chercher d'éventuelles causes environnementales. La fibromyalgie enfin reconnueLE MONDE 24.04.07 Ceux qui en sont atteints se sont baptisés "les SDF de la santé". Ils souffrent de la fibromyalgie, une affection qui se manifeste notamment par des douleurs musculaires diffuses et une fatigue intense mais ne s'accompagne d'aucune anomalie aux examens d'imagerie ou de biologie. Longtemps, la réalité de cette maladie dont l'origine est inconnue et qui touche généralement des personnes présentant des signes d'anxiété ou de dépression, a été niée. Dans le meilleur des cas, les troubles étaient considérés comme psychosomatiques. Ce n'est plus le cas à présent.A la demande du ministre de la santé, un groupe de travail de l'Académie nationale de médecine, présidé par deux prestigieux médecins, le rhumatologue Charles Joël Menkes et l'interniste Pierre Godeau, a rendu en janvier un rapport consacré à la fibromyalgie. Ces travaux confirment sans équivoque "la réalité de ce syndrome douloureux chronique et même sur sa fréquence" mais évoquent la persistance de doutes "sur la légitimité d'en faire une maladie, avec les conséquences médico-sociales qui peuvent en résulter".Les auteurs du rapport soulignent entre autres "le caractère subjectif des troubles invoqués (douleur, fatigue, mal-être, troubles du sommeil) (...)" ou encore le caractère "artificiel et abusif des critères de classification quand on les utilise à tort comme critères de diagnostic". "Ne jouons plus sur les mots !", s'écrie Carole Robert, déléguée générale de l'association Fibromyalgie France. Elle évoque "plus de 3 millions de Français concernés, soit autant que l'ensemble des maladies rares en France" et précise que ce chiffre lui a été indiqué par l'ancien ministre de la santé, Xavier Bertrand. Selon Carole Robert il ne fait pas de doute que les chiffres de l'Académie de médecine sous-estiment grandement le nombre d'hommes et d'enfants atteints. "Les douleurs sont plus intenses et précoces chez les hommes fibromyalgiques. C'est très dur pour eux", insiste Mme Robert."ENCORE SCEPTIQUES"Le diagnostic de la fibromyalgie repose actuellement sur l'association de deux critères établis en 1990 par l'American College of Rheumatology (ARC, Collège américain de rhumatologie). Le premier est l'existence d'une histoire de douleurs diffuses et le second est basé sur la présence d'au moins onze points douloureux sur les dix-huit qui ont été reconnus.Pionnier de la reconnaissance de la fibromyalgie en France - il a identifié ce tableau clinique et a proposé des critères diagnostiques dès 1981 -, le professeur Marcel-Francis Kahn estime que "beaucoup de médecins sont encore sceptiques, voire très réticents, à reconnaître la fibromyalgie. Pour moi, explique le rhumatologue, il s'agit d'une maladie de la douleur". Elle toucherait les voies nerveuses centrales dans le cerveau, au niveau du mésencéphale.La reconnaissance de la fibromyalgie demeure problématique. En ne la considérant pas comme une maladie à part entière, l'Académie de médecine doute qu'elle entre dans le cadre d'une prise en charge par l'assurance-maladie. "Il y a de bonnes choses dans le rapport de l'Académie de médecine, même si elle est en retard sur l'Organisation mondiale de la santé, qui reconnaît la fibromyalgie comme une maladie", note Carole Robert.La déléguée générale de Fibromyalgie France cite une situation fréquente où, d'un commun accord, le malade et le médecin demandent la reconnaissance d'une invalidité au titre d'une dépression, celle-ci étant refusée si l'on invoque la fibromyalgie.L'association a porté le débat sur le terrain politique, car "depuis 2002, le dossier est bloqué au ministère de la santé", selon Carole Robert. Le ministère a récemment fait état d'une enquête épidémiologique en cours, mais l'Institut de veille sanitaire confirme qu'il n'a pas encore pu la mettre en place car il attend toujours du ministère une définition précise de la maladie.Du côté de l'Académie comme de Fibromyalgie France, on s'accorde à estimer indispensables des recherches sur cette affection et sur les mécanismes qui peuvent en être responsables. L'association insiste surtout sur les pistes environnementales et génétiques. "64 % des personnes myalgiques présentent une intolérance aux produits chimiques. Cela vaut la peine de s'intéresser à ce fait", affirme Carole Robert.Quant au traitement, "il n'y a rien de satisfaisant : selon les cas le paracétamol ou un antidépresseur, l'amitriptyline, peuvent être efficaces", constate le professeur Kahn, qui cite les bienfaits des "techniques de rééducation progressive à l'effort comme le tai-chi." L'écoute et le dialogue du médecin avec la personne malade paraissent en tout cas d'autant plus indispensables que l'entourage familial et professionnel a souvent tendance à nier la réalité de cette affection. Fibromyalgie France : 05-46-35-60-71 ou

Générations Futures (ex- MDRGF) est une association de défense de l’environnement agréée, reconnue d’intérêt générale, fondée en 96 par G. Toutain, agronome, et F. Veillerette, enseignant. Nous menons des actions pour informer sur les risques de diverses pollutions ( notamment les substances chimiques surtout les pesticides) et promouvoir des alternatives en vue d'en réduire les impacts négatifs pour la santé et l’environnement. + d'infos sur http://www.generations-futures.fr
mardi 24 avril 2007
jeudi 12 avril 2007
Echec des tentatives de déstabilisation du livre sur le net !!!
La tentative de déstabilisation du livre 'Pesticides Révélations sur un scandale français' présentée comme un exemple d'échec total selon un expert
Le Livre 'Pesticides, Révélations sur un scandale français' de Fabrice Nicolino et François Veillerette ( http://www.pesticides-lelivre.com/ ) a été l'objet d'attaques sur internet visant à décrédibiliser les auteurs par l'intermédiaire d'un site internet notamment. Aujourd'hui la mise en ligne de ce site conduit par une pseudo journaliste se retourne contre ses auteurs et ses commanditaires. Analyse d'un spécialiste de la communication de crise sur internet : Didier Heiderich in : 'Magazine de la communication de crise et sensible', Vol 13, Avril 2007.Cybercrise et déstabilisation Les opérations de déstabilisation sur internet ne sont pas nouvelles et on se souviendra de l’affaire Belvédère. Cette fois, c’est un livre-enquête sur les pesticides qui fait l’objet d’une manipulation par un processus viral. Limites, erreurs et déshérences de ceux qui imaginent encore manipuler le réseau avec une subtilité de bazar : la guérilla enclenchée sur le net est en train de donner un formidable coup de pub à ce livre dérangeant.Décidément, la communication de crise sur internet est un art. Art qui ne souffre aucun manque de rigueur au risque de dégénérer en crise plus brutale qui finira dans les médias classiques. Notre point de vue, depuis des années, est de ne jamais avancer masqué, le risque est trop grand de se faire prendre. C’est visiblement le cas concernant l’opération de déstabilisation du livre « Pesticides, révélations sur un scandale français » (Fayard) écrit par le journaliste Fabrice Nicolino, collaborateur du magazine Terre Sauvage et François Veillerette, président du Mouvement pour les droits et le respect des générations futures.Un site web consacré à déstabiliser les auteurs du livre Jusque là rien de nouveau sous le soleil qui perce les nuages toxiques dénoncés par les mouvements écologistes : la France s’habitue aux scandales au point de ne plus pouvoir les compter sur les doigts d’une main. Vrai ou faux, ce livre aurait pu rester bien au chaud et discret sous la serre carbonique qui englobe la sphère écologiste. C’était sans compter avec le superbe coup de pub et surtout au crédit donné à ce livre grâce à une opération bâclée de lobbying sur Internet. A peine le livre sorti, un nom de domaine était déposé www.alerte-environnement.org (exactement le 26 février 2007 à 17:53:35) et un site créé sous la forme d’un blog. La coïncidence ne s’arrête pas ici : dès le départ ce site fut entièrement consacré à décrédibiliser les auteurs du livre avec des arguments chocs « Fabrice Nicolino sur les traces de Thierry Meyssan » ou encore « Théorie du complot et amalgames », même si l’auteure s’est pliée a l’écriture de quelques articles prétextes. En tous les cas, l’amalgame avec Thierry Meyssan et la théorie du complot sont des arguments particulièrement marquants dans l’imaginaire collectif : les auteurs du livre ont dû trouver des sources de légitimation face à la puissance symbolique de cette attaque en règle. De ce point de vu, l’opération est réussie : Thierry Meyssan ayant à l’époque bénéficié du levier de la presse, celle-ci perd d’emblée une part importante de son crédit dans la défense de ce livre. Enfin, nous nous trouvons dans une logique de confrontation « journaliste contre journaliste » car les rédacteurs de ce site utilisent la caution journalistique pour faire valoir leurs propos.LégitimationCar ce qui est intéressant, c’est le processus de légitimation du site « écrit par une journaliste et quelques amis agriculteurs », un classique dans le genre. Le sens est également affiché, car le site se veut à la fois responsable et militant, image convenable pour les écologistes « Alerte Environnement creuse, cherche et expose les motivations de quelques initiés qui se sont arrogés le titre d’experts. Incisif, ce site éclaire les débats, analyse, décortique.» Entre la théorie du complot et la journaliste responsable, nous n’avons pas le choix. Le processus de légitimation est enclenché, reste encore à propager l’information.Buzz et stratégie d’influenceTrès rapidement, les sites qui évoquaient le livre semblent avoir été passés au crible et systématiquement informés de l’existence du site www.alerte-environnement.org « Pour en savoir plus sur le livre Pesticides, révélations sur un scandale français », ce qui a l’art d’attirer le chaland sans dévoiler ses intentions : cette méthode, certes mesquine, est souvent utilisée par les manipulateurs et connaît d’autres variantes comme « information sur… » ou encore plus simplement « information.», par exemple en entête d’un email, comme nous en recevons parfois d’illuminés. Cette technique a cependant le mérite de fonctionner dans de nombreux cas. Encore faut-il retenir le poisson dans ses filets.Contenu.Car sans contenu, la promesse de l’information ne pourra être tenue. Ici, le mal est fait : l’accroche par les micro-contenus « Meyssan » et « Théorie du complot » suffisent à créer une relation directe entre le livre et une effroyable imposture. Encore faut-il durer, par la qualité du contenu. Or, dans ce type d’opération, le contenu annexe est sensé contextualiser et crédibiliser le contenu-piège. C’est ici que le site en question trouve ses limites car ce contenu est pour l’essentiel une accumulation de copier-coller sans aucun intérêt, très éloigné de la rigueur journalistique annoncée dans la promesse (page « Qui sommes-nous ») et pour cause.EffondrementSi le site en question relève plus de la rubrique des chiens écrasés que de l’investigation journalistique, c’est aussi parce que les auteurs ne sont pas journalistes *. C’est ici que le château de cartes virtuel s’effondre. Révélée sur le net puis au grand public par le Canard Enchaîné, la manipulation fait actuellement le tour d’internet et le buzz se retourne contre son auteure au profit du livre déjà réimprimé deux fois et qui trouve le soutien de personnalités au dessus de tous soupçons d’amalgame. Aujourd’hui, le site est obligé d’afficher une posture défensive, poussés à plus de transparence, contraint de s’expliquer ce qui est très éloigné de ses objectifs affichés ou sous-jacents.Opération ratée orchestrée par des industriels via une agence peu performante de relations publiques online ? Initiative individuelle ou d’un petit cercle ? Impossible de le dire même si l’auteure s’en défend et se dit à la recherche d’un emploi. Nous savons simplement que suite aux révélations du Canard, l’auteure du site s’est partiellement dévoilée, avouant que son véritable job est la communication.Face à cette débâcle nous pourrions conclure à l’initiative individuelle. Mais cette hypothèse pose la question du mobile et rappelons-nous que les esprits – et services de communication - les mieux éclairés sombrent parfois dans les méandres d’internet. C’est un domaine qui nous réserve encore d’inénarrables surprises. - D.H.* Ou journaliste occasionnelle, sans carte de presse. Cependant, selon nos recherches, elle aurait écrit deux papiers en 2006 pour le Télégramme de Brest.Le site web du livre : http://mdrgf.c.topica.com/maagdCjabxNn4bIDu65eafpL0Q/
Le Livre 'Pesticides, Révélations sur un scandale français' de Fabrice Nicolino et François Veillerette ( http://www.pesticides-lelivre.com/ ) a été l'objet d'attaques sur internet visant à décrédibiliser les auteurs par l'intermédiaire d'un site internet notamment. Aujourd'hui la mise en ligne de ce site conduit par une pseudo journaliste se retourne contre ses auteurs et ses commanditaires. Analyse d'un spécialiste de la communication de crise sur internet : Didier Heiderich in : 'Magazine de la communication de crise et sensible', Vol 13, Avril 2007.Cybercrise et déstabilisation Les opérations de déstabilisation sur internet ne sont pas nouvelles et on se souviendra de l’affaire Belvédère. Cette fois, c’est un livre-enquête sur les pesticides qui fait l’objet d’une manipulation par un processus viral. Limites, erreurs et déshérences de ceux qui imaginent encore manipuler le réseau avec une subtilité de bazar : la guérilla enclenchée sur le net est en train de donner un formidable coup de pub à ce livre dérangeant.Décidément, la communication de crise sur internet est un art. Art qui ne souffre aucun manque de rigueur au risque de dégénérer en crise plus brutale qui finira dans les médias classiques. Notre point de vue, depuis des années, est de ne jamais avancer masqué, le risque est trop grand de se faire prendre. C’est visiblement le cas concernant l’opération de déstabilisation du livre « Pesticides, révélations sur un scandale français » (Fayard) écrit par le journaliste Fabrice Nicolino, collaborateur du magazine Terre Sauvage et François Veillerette, président du Mouvement pour les droits et le respect des générations futures.Un site web consacré à déstabiliser les auteurs du livre Jusque là rien de nouveau sous le soleil qui perce les nuages toxiques dénoncés par les mouvements écologistes : la France s’habitue aux scandales au point de ne plus pouvoir les compter sur les doigts d’une main. Vrai ou faux, ce livre aurait pu rester bien au chaud et discret sous la serre carbonique qui englobe la sphère écologiste. C’était sans compter avec le superbe coup de pub et surtout au crédit donné à ce livre grâce à une opération bâclée de lobbying sur Internet. A peine le livre sorti, un nom de domaine était déposé www.alerte-environnement.org (exactement le 26 février 2007 à 17:53:35) et un site créé sous la forme d’un blog. La coïncidence ne s’arrête pas ici : dès le départ ce site fut entièrement consacré à décrédibiliser les auteurs du livre avec des arguments chocs « Fabrice Nicolino sur les traces de Thierry Meyssan » ou encore « Théorie du complot et amalgames », même si l’auteure s’est pliée a l’écriture de quelques articles prétextes. En tous les cas, l’amalgame avec Thierry Meyssan et la théorie du complot sont des arguments particulièrement marquants dans l’imaginaire collectif : les auteurs du livre ont dû trouver des sources de légitimation face à la puissance symbolique de cette attaque en règle. De ce point de vu, l’opération est réussie : Thierry Meyssan ayant à l’époque bénéficié du levier de la presse, celle-ci perd d’emblée une part importante de son crédit dans la défense de ce livre. Enfin, nous nous trouvons dans une logique de confrontation « journaliste contre journaliste » car les rédacteurs de ce site utilisent la caution journalistique pour faire valoir leurs propos.LégitimationCar ce qui est intéressant, c’est le processus de légitimation du site « écrit par une journaliste et quelques amis agriculteurs », un classique dans le genre. Le sens est également affiché, car le site se veut à la fois responsable et militant, image convenable pour les écologistes « Alerte Environnement creuse, cherche et expose les motivations de quelques initiés qui se sont arrogés le titre d’experts. Incisif, ce site éclaire les débats, analyse, décortique.» Entre la théorie du complot et la journaliste responsable, nous n’avons pas le choix. Le processus de légitimation est enclenché, reste encore à propager l’information.Buzz et stratégie d’influenceTrès rapidement, les sites qui évoquaient le livre semblent avoir été passés au crible et systématiquement informés de l’existence du site www.alerte-environnement.org « Pour en savoir plus sur le livre Pesticides, révélations sur un scandale français », ce qui a l’art d’attirer le chaland sans dévoiler ses intentions : cette méthode, certes mesquine, est souvent utilisée par les manipulateurs et connaît d’autres variantes comme « information sur… » ou encore plus simplement « information.», par exemple en entête d’un email, comme nous en recevons parfois d’illuminés. Cette technique a cependant le mérite de fonctionner dans de nombreux cas. Encore faut-il retenir le poisson dans ses filets.Contenu.Car sans contenu, la promesse de l’information ne pourra être tenue. Ici, le mal est fait : l’accroche par les micro-contenus « Meyssan » et « Théorie du complot » suffisent à créer une relation directe entre le livre et une effroyable imposture. Encore faut-il durer, par la qualité du contenu. Or, dans ce type d’opération, le contenu annexe est sensé contextualiser et crédibiliser le contenu-piège. C’est ici que le site en question trouve ses limites car ce contenu est pour l’essentiel une accumulation de copier-coller sans aucun intérêt, très éloigné de la rigueur journalistique annoncée dans la promesse (page « Qui sommes-nous ») et pour cause.EffondrementSi le site en question relève plus de la rubrique des chiens écrasés que de l’investigation journalistique, c’est aussi parce que les auteurs ne sont pas journalistes *. C’est ici que le château de cartes virtuel s’effondre. Révélée sur le net puis au grand public par le Canard Enchaîné, la manipulation fait actuellement le tour d’internet et le buzz se retourne contre son auteure au profit du livre déjà réimprimé deux fois et qui trouve le soutien de personnalités au dessus de tous soupçons d’amalgame. Aujourd’hui, le site est obligé d’afficher une posture défensive, poussés à plus de transparence, contraint de s’expliquer ce qui est très éloigné de ses objectifs affichés ou sous-jacents.Opération ratée orchestrée par des industriels via une agence peu performante de relations publiques online ? Initiative individuelle ou d’un petit cercle ? Impossible de le dire même si l’auteure s’en défend et se dit à la recherche d’un emploi. Nous savons simplement que suite aux révélations du Canard, l’auteure du site s’est partiellement dévoilée, avouant que son véritable job est la communication.Face à cette débâcle nous pourrions conclure à l’initiative individuelle. Mais cette hypothèse pose la question du mobile et rappelons-nous que les esprits – et services de communication - les mieux éclairés sombrent parfois dans les méandres d’internet. C’est un domaine qui nous réserve encore d’inénarrables surprises. - D.H.* Ou journaliste occasionnelle, sans carte de presse. Cependant, selon nos recherches, elle aurait écrit deux papiers en 2006 pour le Télégramme de Brest.Le site web du livre : http://mdrgf.c.topica.com/maagdCjabxNn4bIDu65eafpL0Q/
vendredi 6 avril 2007
Un site pour connaitre les positions des candidats sur les questions agricoles, les pesticides, les OGM

Comme prévu nous mettons aujourd'hui en ligne le site pesticides2007.com afin que vous puissiez découvrir les positions détaillées des candidats à l'élection présidentielle sur les question d'agriculture, de pesticides, d'OGM....vous pourrez ainsi voter en toute connaissance de cause. Bon surf sur ce nouveau site du MDRGF. Dans quelques semaines, ce site évoluera encore avec la mise en ligne de la partie concernant les positions des députés et candidats à la députation qui auront répondu à notre questionnaire.
lundi 26 mars 2007
Une vidéo sur les OGM et les pesticides à voir absolument
ouvrez dans une nouvelle fenêtre sur votre navigateur le lien suivant :
http://www.dailymotion.com/video/xrn35_ogm-lhorreur-reveillez-vous-avant
Depuis 1996, le soja transgénique est en train d'envahir l'Argentine, et de là, arrive en Europe et en Chine (huiles pour la consommation humaine et aliments pour le bétail). L'argentine est le 1er exportateur au monde de produits issus du soja. 37 millions de tonnes, 10 milliards de dollars, 30% des exportations nationales.14 millions d'hectares, soit la moitié des terres cultivables argentines sont accaparées pour le soja. Et la déforestation explose.Le soja transgénique, c'est Monsanto. Un soja résistant au glyphosate (le round up). Les graines sont vendues avec le désherbant qui tue tout le reste, sauf ce soja, et qui épandu par avion. Avec ça, promis, des rendements énormes (et au début, ce fut exact).Sauf que ...Apparaissent des mauvaises herbes tolérantes au glyphosate et il a fallu augmenter les doses de poison (35 litres à l'ha au lieu de 2 - 150 millions de litres de glyphosate épandus maintenant au lieu de 1 million de litres avant). Un cercle vicieux. Les cultures vivrières à proximité sont détruites et abandonnées. Les animaux et les hommes sont malades. Un cauchemar sanitaire.Le soja "round up ready" détruit la terre, pollue l'environnement, développe les maladies...Un puissant mouvement populaire paysan s'organise
http://www.dailymotion.com/video/xrn35_ogm-lhorreur-reveillez-vous-avant
http://www.dailymotion.com/video/xrn35_ogm-lhorreur-reveillez-vous-avant
Depuis 1996, le soja transgénique est en train d'envahir l'Argentine, et de là, arrive en Europe et en Chine (huiles pour la consommation humaine et aliments pour le bétail). L'argentine est le 1er exportateur au monde de produits issus du soja. 37 millions de tonnes, 10 milliards de dollars, 30% des exportations nationales.14 millions d'hectares, soit la moitié des terres cultivables argentines sont accaparées pour le soja. Et la déforestation explose.Le soja transgénique, c'est Monsanto. Un soja résistant au glyphosate (le round up). Les graines sont vendues avec le désherbant qui tue tout le reste, sauf ce soja, et qui épandu par avion. Avec ça, promis, des rendements énormes (et au début, ce fut exact).Sauf que ...Apparaissent des mauvaises herbes tolérantes au glyphosate et il a fallu augmenter les doses de poison (35 litres à l'ha au lieu de 2 - 150 millions de litres de glyphosate épandus maintenant au lieu de 1 million de litres avant). Un cercle vicieux. Les cultures vivrières à proximité sont détruites et abandonnées. Les animaux et les hommes sont malades. Un cauchemar sanitaire.Le soja "round up ready" détruit la terre, pollue l'environnement, développe les maladies...Un puissant mouvement populaire paysan s'organise
http://www.dailymotion.com/video/xrn35_ogm-lhorreur-reveillez-vous-avant
Semaine sans pesticides
Lancement du nouveau site !
La deuxième semaine pour les alternatives aux pesticides se tiendra du 20 au 31 mars prochain. Découvrez en avant première plus de 200 évènements programmés partout en France et annoncés sur le nouveau site : http://www.semaine-sans-pesticides.com Au programme des animations diverses et variées : conférences-débats, projections de films, visites de jardins et de fermes biologiques, animations en lycées et écoles, dégustations…A l’initiative de l’ACAP –Action Citoyenne pour les Alternatives aux Pesticides(1) , cet évènement veut démontrer que des alternatives aux pesticides existent, aussi bien en milieu urbain qu’en milieu agricole. Lors de sa première édition, la semaine sans pesticides avait suscité environ 90 évènements. Ce succès a poussé les membres de l’ACAP à reconduire cette action en lui impulsant une plus grande dynamique. Grâce à la présence de nouveaux réseaux (LPO, CPIE…), à la vitalité des associations locales (GAB, Civam) et surtout grâce aux dynamiques régionales (groupement d’associations au sein de collectifs locaux), cette nouvelle semaine sans pesticides s’annonce sous les meilleurs hospices. Ce sont en effet d’ores et déjà plus de 200 manifestations qui sont prévues cette année. A l’heure où un livre événement doit paraître sur le scandale des pesticides (2) ; à l’heure où le salon de l’agriculture, toujours tourné vers l’agriculture intensive, doit ouvrir ses portes, à l’heure où les campagnes électorales s’amorcent ; les membres de l’ACAP réaffirment plus que jamais que des alternatives aux pesticides, sûres, respectueuses de notre santé et de notre environnement, économiquement rentables et socialement bénéfiques existent et doivent être favorisées !« Les prochaines échéance électorales approchent. Face à l’inquiétude légitime et grandissante des français sur la question des pesticides, quelles mesures seront préconisées par nos futurs élus ? L’ACAP, que coordonne le MDRGF, propose durant cette semaine une série de mesures permettant de réduire, voire de supprimer, ces pesticides de synthèse. Que les candidats aux élections s’emparent de ces exemples et les intègrent dans leurs programmes !… » déclare F. Veillerette, Président du MDRGF.Pour un avenir sans pesticides et un environnement sain, nous invitons toutes celles et ceux qui le souhaitent à venir nombreux assister à ces évènements (3). La semaine sans pesticides est organisée par l’ACAP. La coordination nationale est assurée par le MDRGF.Contact Presse Nationale : MDRGF – 06 87 56 27 54 – 01 45 79 07 59 – semainesanspesticide@free.fr1 : Collectif de plus de 120 organisations lancé en 2004 par le MDRGF et qui compte dans ses membres la FNAB, la confédération paysanne, Nature et Progrès, etc – voir http://www.acap.net2 : Pesticides, Révélations sur un scandale français. F. Nicolino et F. Veillerette. Fayard, mars 2007. http://www.pesticides-lelivre.com3 : Retrouvez ces évènements sur le site : http://www.semaine-sans-pesticides.com
Rendez vous sur le site de la semaine
La deuxième semaine pour les alternatives aux pesticides se tiendra du 20 au 31 mars prochain. Découvrez en avant première plus de 200 évènements programmés partout en France et annoncés sur le nouveau site : http://www.semaine-sans-pesticides.com Au programme des animations diverses et variées : conférences-débats, projections de films, visites de jardins et de fermes biologiques, animations en lycées et écoles, dégustations…A l’initiative de l’ACAP –Action Citoyenne pour les Alternatives aux Pesticides(1) , cet évènement veut démontrer que des alternatives aux pesticides existent, aussi bien en milieu urbain qu’en milieu agricole. Lors de sa première édition, la semaine sans pesticides avait suscité environ 90 évènements. Ce succès a poussé les membres de l’ACAP à reconduire cette action en lui impulsant une plus grande dynamique. Grâce à la présence de nouveaux réseaux (LPO, CPIE…), à la vitalité des associations locales (GAB, Civam) et surtout grâce aux dynamiques régionales (groupement d’associations au sein de collectifs locaux), cette nouvelle semaine sans pesticides s’annonce sous les meilleurs hospices. Ce sont en effet d’ores et déjà plus de 200 manifestations qui sont prévues cette année. A l’heure où un livre événement doit paraître sur le scandale des pesticides (2) ; à l’heure où le salon de l’agriculture, toujours tourné vers l’agriculture intensive, doit ouvrir ses portes, à l’heure où les campagnes électorales s’amorcent ; les membres de l’ACAP réaffirment plus que jamais que des alternatives aux pesticides, sûres, respectueuses de notre santé et de notre environnement, économiquement rentables et socialement bénéfiques existent et doivent être favorisées !« Les prochaines échéance électorales approchent. Face à l’inquiétude légitime et grandissante des français sur la question des pesticides, quelles mesures seront préconisées par nos futurs élus ? L’ACAP, que coordonne le MDRGF, propose durant cette semaine une série de mesures permettant de réduire, voire de supprimer, ces pesticides de synthèse. Que les candidats aux élections s’emparent de ces exemples et les intègrent dans leurs programmes !… » déclare F. Veillerette, Président du MDRGF.Pour un avenir sans pesticides et un environnement sain, nous invitons toutes celles et ceux qui le souhaitent à venir nombreux assister à ces évènements (3). La semaine sans pesticides est organisée par l’ACAP. La coordination nationale est assurée par le MDRGF.Contact Presse Nationale : MDRGF – 06 87 56 27 54 – 01 45 79 07 59 – semainesanspesticide@free.fr1 : Collectif de plus de 120 organisations lancé en 2004 par le MDRGF et qui compte dans ses membres la FNAB, la confédération paysanne, Nature et Progrès, etc – voir http://www.acap.net2 : Pesticides, Révélations sur un scandale français. F. Nicolino et F. Veillerette. Fayard, mars 2007. http://www.pesticides-lelivre.com3 : Retrouvez ces évènements sur le site : http://www.semaine-sans-pesticides.com
Rendez vous sur le site de la semaine
vendredi 2 février 2007
Un livre de révélations sur les pesticides !

Fabrice Nicolino et François Veillerette.
Vous pourrez retrouver les auteurs de ce livre sur le Net dès le 15février, à l’adresse suivante :
http://www.pesticides-lelivre.com/
Résidus de pesticides dans les fruits et légumes : les derniers chiffres
La DGCCRF établit chaque année un bilan des résultats des plans de surveillance et de contrôles des résidus de pesticides dans les productions végétales. Le bilan (1) des données 2005 a été publié ce 26 janvier 2007.
La DGCCRF présente des résultats de manière rassurante en précisant que : « Pour les fruits et légumes 93,4 % des échantillons sont conformes et 6,7 % présentent une teneur en résidus dépassant la LMR autorisée (nationale ou communautaire) .
Le MDRGF proteste contre la façon dont ces résultats sont présentés, qu’elle juge tendancieuse..En effet, il n’est nul part mentionné la proportion des aliments végétaux qui contiennent des résidus de pesticides à des teneurs inférieures aux LMR…ce qui permet de donner une impression faussement rassurante des chiffres de la contamination des aliments par les pesticides. Rappelons que les chiffres 2004 montraient la présence de pesticides à des taux inférieurs aux LMR dans 43.8% des échantillons de fruits et légumes . Et en 2005 ? Mystère !!!
L’année dernière les chiffres (2) avaient été présentés plus honnêtement. On avait ainsi appris à la lecture des données de 2004 que « Des teneurs inférieures à la limite maximale de résidus (LMR) ont été détectées pour 43,8 % des échantillons. 96,2 % des fruits et légumes analysés respectent donc la réglementation. Les LMR ont été dépassées dans moins de 4%. »
La comparaison entre ces deux années montrent une dégradation : passage de 96.2% à 93.4% des échantillons respectant la réglementation, passage de moins de 4% à 6.7% des échantillons supérieurs aux LMR…Cette dégradation serait elle la cause de la disparition du chiffre de la proportion des aliments végétaux avec résidus inférieurs aux LMR ? Le chiffre serait il si alarmant en cette période électorale ?
« Le MDRGF demande la publication immédiate de tous les chiffres de ce bilan annuel sur les résidus de pesticides dans les aliments végétaux afin que les citoyens puissent se faire une idée juste du niveau de contamination important de leur alimentation par les pesticides. » Demande François VEILLERETTE, Président du MDRGF.
1 : http://www.finances.gouv.fr/DGCCRF/03_publications/com_ddp/residuspesticides.pdf
2 : http://www.minefi.gouv.fr/DGCCRF/04_dossiers/consommation/controles_alimentaires/actions/pesticide0806.htm
La DGCCRF présente des résultats de manière rassurante en précisant que : « Pour les fruits et légumes 93,4 % des échantillons sont conformes et 6,7 % présentent une teneur en résidus dépassant la LMR autorisée (nationale ou communautaire) .
Le MDRGF proteste contre la façon dont ces résultats sont présentés, qu’elle juge tendancieuse..En effet, il n’est nul part mentionné la proportion des aliments végétaux qui contiennent des résidus de pesticides à des teneurs inférieures aux LMR…ce qui permet de donner une impression faussement rassurante des chiffres de la contamination des aliments par les pesticides. Rappelons que les chiffres 2004 montraient la présence de pesticides à des taux inférieurs aux LMR dans 43.8% des échantillons de fruits et légumes . Et en 2005 ? Mystère !!!
L’année dernière les chiffres (2) avaient été présentés plus honnêtement. On avait ainsi appris à la lecture des données de 2004 que « Des teneurs inférieures à la limite maximale de résidus (LMR) ont été détectées pour 43,8 % des échantillons. 96,2 % des fruits et légumes analysés respectent donc la réglementation. Les LMR ont été dépassées dans moins de 4%. »
La comparaison entre ces deux années montrent une dégradation : passage de 96.2% à 93.4% des échantillons respectant la réglementation, passage de moins de 4% à 6.7% des échantillons supérieurs aux LMR…Cette dégradation serait elle la cause de la disparition du chiffre de la proportion des aliments végétaux avec résidus inférieurs aux LMR ? Le chiffre serait il si alarmant en cette période électorale ?
« Le MDRGF demande la publication immédiate de tous les chiffres de ce bilan annuel sur les résidus de pesticides dans les aliments végétaux afin que les citoyens puissent se faire une idée juste du niveau de contamination important de leur alimentation par les pesticides. » Demande François VEILLERETTE, Président du MDRGF.
1 : http://www.finances.gouv.fr/DGCCRF/03_publications/com_ddp/residuspesticides.pdf
2 : http://www.minefi.gouv.fr/DGCCRF/04_dossiers/consommation/controles_alimentaires/actions/pesticide0806.htm
Inscription à :
Articles (Atom)